La ville d'Edora

Le portail tomba sur une ville. Que faisions-nous ici ? Où étions-nous ? Aucune idée. J'observa les alentours des plaines et verdures des vallées. C'étais étrange et facinant à voir. Mais méfiance, car nous connaissions pas l'endroit.

- Bon... Où sommes-nous exactement ? Suis-je téléporté à une endroit que j'ignore ?

Nous avions traverser la porte avec Tempus, je ne lui avait pas lacher la main. On arriva vers une ville, une vallé, l'entourai, ou étions nous tomber cette fois.
Je regarda Magic pour le questionner

Magic....ou sommes nous?

Je marchais tranquillement, après ma rencontre avec Revan cette autre Elfe. Minuit sautait un peu partout. J’avais laissé Aneesha et Tempus près du Lac. Je me mis a penser a Magic car je ne n’avais pas revue depuis fort longtemps. C’est alors qu’une porte
Apparue devant moi par quel miracle je ne s’avait pas.
Je m’avance vers se portail,

*Devais-je y pénétrer ? C’était la question que je me posais.*

Je me décidai à la franchir avec minuit.

Je me retrouva inconsciente je ne sait ou.

Je me retournais vers Farah, ma cape retraité derrière mes épaules. Mes cheveux noirs était magnifique par le soleil qui luisait sur moi.

- Tu as devant toi Edora, la ville des seigneurs des cheveaux du Rohan.

Toujours tenant ma main sur mon manche de mon épée, j'observa les diverts régions en arrière d'elle.

Je me releva tous en regardant les plaines qui surplonbait Edora.

Edora, laville des seigneur des cheveaux de Rohan.

Nous marchions à travère les plaines pour nous diriger vers la cité. Quand nous arrîvames, nous découvrons que des hommes montèrent la garde sans cesse. Un d'eux nous virent et criant.

- Que faites-vous ici ?

- Nous sommes des étrangers venues pour rendre visite au roi.

Je continua d'observer les remparts sans quitter mes yeux de là.

En traversant les plaines on arriva vers le cité d'Edora, la cité des Roi, les rempart entouraient la cité pour la protéger toute toute attaque exterieure.

Les portes de la cité s'ouvrirent. J'entrais avec Farah et les autres. Beaucoup de femmes et enfants nous regardaient, sans s'arrêter de continuer leurs tâches quotidiennes. Quelques soldats se pratiquait, d'autre fumais ou jasais sans cesse. Nous arrîvâmes au sommet, là où se trouvait le château du roi de Rohan. La vue était magnifique, le fleuve se voyait de loin d'ici.

- Telle sont les contrées du Rohan, aucunes cités n'auraient la grâce d'une telle vue demême.

Les habitant de la cité nous regardaient, les enfants se cachaient derrière leur mère. Nous traversions la cité pour arriver au sommet qui donnais un vue magnifique sur toute les contrés d'Edora.
On pénétra dans le chateau, un nous ordonna de le suivre vers la salle du trone.

Nous rentrons à l'intérieur du palais. Grand il était, petit était ses pièces et salles. Un homme en habit royale ne cessa de nous regarder, observa chaques pas que nous faisions. Je m'inclina et fit un salut à son altesse. Dès que je me releva au signe du roi, mes paroles sortirs de ma bouche.

- Telle que vous êtes bien-heureux, sir ! Je suis venus ici pour vous voir et chercher de l'aide. Des orques ne cessent de se balader en groupe. J'en ai apperçue au loin d'ici, dans une forêt à des kilomètres d'Edora.

Je me trouvais derrière Farah et Magic, regardant autour de moi. Le roi se trouvait assis sur son trône.
Magic pris la parole. Le roi l’écoutais le regardant des ses yeux noir. Il ne me plaisait pas du tous se Roi. De plus en passant dans les ruelle de la cité j’avais crue entendre un discutions au sujet de se roi. Il n’etait pas le Roi légitime D’edora mais l’intendant du trône, en attend le retour du vrai Roi.

Des Orques Me dit vous ! Il ne pourrons jamais pénétré la cité

Il regarda magic.

- Bien sûr, mais vous ne savez pas ce qu'ils ont avec eux. Des Nazgûls les ont rejoinds, ils sont deux et ils cheveauchent ensemble. N'empêche pas que les serviteurs de Sauron réusisse à faire tomber vos défenses, simplement avec des sabots de cheval. Vous me diriez que cela est impossible, mais c'est la vérité. J'ai même vue qu'un d'eux était le Roi-Sorcier en personne. Ils ne sont que deux, mais suffit qu'ils peuvent vous faires tomber vos armes.

Je continua de le regarder, tout en me déplaça dans la salle du trône.

Il eclata de rire en écoutant magic. Je vous l'ai deja dit personne ne peu penétré la cité des Roi.

Je le regardais

Quel Roi m'éprisable, il y vais des enfant, des femmes ici. Et il ne comptais rien faire pour les protégé.

Je sentis l'odeur d'un Mage puissant dans ses yeux. Qui était-ce ce Mage ? Que voulait-il au juste ? Alors je m'approchâme proche de son trône. Le roi était pâle comme la neige en hiver et ses yeux bleus, blancs comme un aveugle. Il portait un manteau de fourrure épais, ce roi était-il bien malade ou possédé ?

- Écoutez-moi bien ! Si vous êtes un espèce de mage puissant, je vous demanderais bien de sortir de là ou sinon j'emplorais la magie des Enfers s'il le faut ! Ainsi vous sauriez surpris de ma puissance.

Le roi riait, s'en fouta royalement des enfants et femmes, préfèrant qu'ils périssent aux armes des orques. Alors le roi semblait se lever, mais sa nièce qui était proche d'elle l'empêcha de se lever.

- Héhéhé... Sachez bien que je ne quitterais pas ce corps ! Je le possède et je contrôle le Rohan avec. Soyons sages, vous sacrez votre camps d'ici et vous me laissez en paix ou sinon j'emplois la garde de la ville à vos trousses.

Je me méfie de ses dites. Saroumane était derrière tout ça, prenant la peine d'une possesion sur un vieux roi.

Ce roi était pire que tout, je regarda vers Aneesha qui s’emblais énervé en entendent ses propos. J’espérais qu’elle n’allait rien faire de stupide. Aneesha était une fille impulsive.
Si comme le disait magic il était posséder par un mage, ce n’était pas vraiment lui qui parlais.
La nièce du roi s’interposa entre Magic et le dit Roi.

Après quelques minutes de silence, des gardes arrivèrents et nous encerclèrent. Alors je leva mes yeux vers le roi.

- Quand vous dîtes que vous cherchez à gagner une puissance, Saroumane, réfléchisez avant toutes actions !

Je leva ma main gauche et fit une poussée magique, repossant Saroumane à l'autre bout, dans sa tour. Alors le roi redevin en lui.

- De... de késsé ? Qui êtes-vous jeune homme ? Vous avez... repoussez le Mage Blanc ?

- Oui, vous l'avez bien dit, votre altesse.

Bien joué Magic. Le roi etait sous l'emprise de Saroumane, le mage blanc

Je regardais Aneesha

Tout ce que sa majesté a pu dire ou faire n'etait pas de sa volonté, il etait sous l'emprise des forces du mal. Mais la il faut agir, les orques approchent, ils seront tres vite a vos portes, seigneur.

Magic avait réussis a repousséle mage blanc mais ne l'avais pas tuer. Il avait disparue, et le visage du roi reprenais des couleur.
Je regarda Tempus puis la Roi

Le roi se leva, malgré sa longue captivité de possesion de Saroumane, il se tenait avec misère sur ses deux jambes. Alors aider par sa nièce, il se mit en face de moi.

- Est-ce bien vrais ? Des orques arrivent ? Combient sont-ils ? Que dois-je faire ? dit-il en se retourna debord.

Longue fut sans la moindre parole pendant ces minutes qui s'échapèrent des châines de Cronos.

- Le Gouffre de Helm... Bien sûr ! s'éclame-t-il.

La joie du roi s'emparais de toute son corps, lui rendant la Gloire d'autrefois. Mais pas pour longtemps...

- Mon seigneur, dit le neuveu du roi.

- Oui ? dit le roi en se retourna de l'autre sence. Qui y'a-t-il Éomer ?

- Votre fils...

- Quoi ?! Mon fils va-t-il bien ? Dite-moi tout soldat !

- Il est mort... Je suis désolé votre Majesté.

- Ques....

Telle qu'un arbre tombe, le roi n'en était point un. Car son évanouisement n'empêcha pas que je m'y presse à ses pieds, l'empêcha qui s'y faisse mal. L'annoncement de ce désastre le rendit sous la sombre voie d'une tristesse, sans joie, sans vie.

- L'annonce de la mort de son fils lui a rendit fatal.

Alors vain la jeune fille, en courant vers son oncle. Ainsi son frère, Éomer l'accompagna.

- Mononcle ? Allez-vous bien ? Répondez !!

- Mononcle ? Vous allez bien ? Éowyn, emmène notre oncle dans sa chambre et change-toi en.

Un duo de frère et soeur se chantait tout deux.

- D'accord... je vais le faire.

Nous étions toujours dans la salle du trône en présence du Roi et de sa nièce.

Le seigneur paraissait faible mais essaya de se levé, il faillit trébucha mais sa nièce et un autre jeune homme se précipita pour le rattraper. Je regardai le jeune homme qui se trouvait au Roi.

Si les orques devaient attaquer serait au lever du soleil. Nous devions préparer la défense de la cité cas ou ils arriveront à franchir le gouffre de Helm.

-Seigneur, vous devez organiser la défense de la cité au cas ou les orques passeront le gouffre. Cela deviens une priorité.

- Le gouffre est plus au nord de la cité, Farah. Aucun risque que des Orques aient l'idée fous de venir en ces lieux. Mais ça vaut le coup de fortifier la cité et d'envoyer le peuple au gouffre de Helm, là où ce sera sécuritaire pour tous.

Le roi me regardais, n'ossa parler point.

Je restait près de tempus les écoutant parler. LeRoi parraisait si faible.

Un homme entra complètement paniqué dans la salle du trône.

- Mon seigneur, nous avons reçu un message d’un de notre éclaireur, les orques seront bientôt là. Il son très nombreux. Que devons faire ?

Je regardais cet homme qui venait d’entrer. Le Roi semblais à l’ouest presque dépasser.

- Eh bien.... Faite présser la population et faite leur diriger vers le Gouffre de Helm, nous irons nous sécurisez en ce lieu !

L'homme remercia le roi et repartir en courant annoncer le message d'urgence.

- Je vous ai prévenus mon seigneur, ils seront sûrement très bientôt dans 3 ou 4 jours possiblement.

Il faut envisager le depart pour aujourd'hui peut etre?

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