le domaine du mal

Je mettais fait bander les yeux comme Lys. Puis je me concentrai je n’avais pas besoin de mes yeux pour la voir, je la voyais ave mon esprit.
Pendant que cœurnoir l’empêchât de bouger, je lui envoyais des attaques de feu qui lui brûlais le corps…
Puis je concentra un immense boule de feu droit vers lui.

l'attaque de Farah brula la gorgone au troisieme degres...

-Lys finit la...

"Avec grand plaisir mon cher!"
Je fis craquer le cou de la vipère qui tentait desespérément de m'étouffer. Je m'élançai alors vers la gorgone. Je plaquai alors mes mains sur les orbites maintenant vides de la gorgone. Je souhaitais en finir rapidement. Condensation. De l'air se forgèrent deux pieux. Deux pieux qui traversèrent la boîte crânienne de la gorgone. Je retirai ensuite mes mains et d'un coup de griffes je sectionnai la tête de la créature.
Méduse. Sans son corps. Pleurait des larmes de sang.

L'attaque de Lys était parfaite, la tête de la gorgone fut tranché et j’envoyai une boule de feu vers son corps qui fut réduit en cendre.

je m'assit sur les décombres...techniquement...la mission était reussie...malheureusement les capes noires s'en sortaient toujours...

déçu...je partit...sans dire un mot

Les serpents carbonisés de la tête de la gorgone dégageait une horrible odeur. Je me débarrassai en un tour de main et me tournai vers les décombres. J'avais envie de les parcourir encore un peu. Je demandai à Farah si elle voulait m'accompagner.
Nous pourrions peut être glaner quelques informations sur Valyanor et cette guilde des capes noires.

Je regardais les décombres du château puis la tête de la gorgone carboniser.

Je veux bien t'accompagner.

Je lui sourie

Les ruines du domaine étaient encore fumantes. Une grande partie de celui-ci avait été désintégrée par la puissance de la boule d'énergie de Valyanor. Des cendres se soulevaient à chacun de nos pas et je parcourai du regard ce champ de rien du tout. Mon pied s'enfonça soudain.
Il y avait un passage sous terrain. Un de plus. Mais l'odeur qui s'en dégageait n'avait rien à voir avec les souterrains parcourus par les hommes de main de Valyanor. Rien de naturel. Rien d'aggressif.
Un laboratoire souterain.
J'échangeai un regard avec Farah. Nous nous y engouffrâmes.

Lys avait découvert une sorte de laboratoire sous le château.

*Et dire qu’il y avait cela en dessous de nos pieds. Restons prudent, L’explosion a du fragiliser les souterrain et c’est peu être piégé.*

Non étions entré dans le tunnel, et il faisait noir a l’intérieur…. Je concentrai une boule de feu dans main pour nous éclairer. Nous avancions prudemment.

"Très utile ce genre de pouvoir!"
Heureusement qu'il n'y avait pas eu de fuite de gaz. Nous aurions été soufflées dans une énorme explosion. Et couic! Bon! Là n'est pas la question. Nous progressâmes lentement mais sûrement. Observant avec apréhension les murs fissurés et les plafonds fragilisés qui laissaient passer un petit flot de terre par instant. Le couloir s'éternisait. Pas idée de faire un tunnel aussi long qu'inutile!
Nous arrivâmes enfin devant une porte en bois massif, laissant apparaître en son centre une serrure et une poignée. Très esthétique... Avec toutes les précocions possible, je fis jouer les molécules de l'air pour déverouiller la serrure. Maintenant, le tout est d'arriver à ouvrir la porte sans que le plafond ne nous tombe dessus...

Avec un peu de chance la structure du plafond n’avait pas subit trop de dégâts. Nous devions ouvrir la porte sans pour autant faire que le plafond s’écroule.

- Ouvre la porte doucement sans brusquerie, si le plafond s’effondre je le retiendrai…

Avec toute la précaution possible j'entrouvrai la porte.

Je lance les dés.

Si j'obtiens un chiffre pair le plafond ne cèdera pas et nous pourrons progresser.
Si j'obtiens un chiffre impair, des centaines de tonnes de terre s'abattront sur nous, nous enterrant sous terre.

Lysis a effectué 1 lancé(s) d'un (6.) :

Lorsque Lys ouvrit la porte le plafond s'éffondra nous entrainons avec lui sous terre.

Farah avait fait tout son possible pour retenir le plafond mais la masse de terre était trop importante. Nous fûmes expulsée dans le laboratoire. Mais piègées sous des mètres cubes de terre. Il fallait creuser. Je sortis mes griffes, commençant à gratter le sol. Je ne suis pas une taupe et ses griffes n'étaient pas des pelles. Je n'avançais donc pas assez vite. Nous allions mourrir asphyxiées si cela continuait. Mes griffes arrivèrent enfin à hauteur de ma bouche. Parfait! Je relachai une bonne partie de l'air contenue dans mes poumons.Je pouvais enfin créer une zone où la pression de la roche diminuait. Je progressais enfin. Je commençais à bouger la tête, puis le bras entier, puis l'autre bras, et enfin tout le corps. La force de l'air repoussait la terre. Il fallait trouver Farah maintenant. Je libérais de plus en plus d'air, j'allai en manquer si je ne la trouvait pas vite. Et soudain, je vis une mèche de cheveux. Je prennais dans les ressources de l'air résiduel. Je me vidais presque entièrement, mes poumons me faisaient atrocement souffrir. Mes cellules demandaient de l'oxygène. Et vite!!
J'attrapai Farah, l'enveloppant dans le cocon d'air. Et maintenant où aller. J'étais perdue, le manque d'air brouillait mes pensées. Je n'ai qu'à y aller à l'instinct. J'avançais aussi vite que je le pouvais, je fatiguais de plus en plus, une chaleur désagréable envahissait mes oreilles, mon cerveau fonctionnait au ralenti. Dix secondes et je serai morte.
Neuf.
Huit.
Sept.
Six.
Cinq.
Quatre.
Trois.

LIBERTE!

Je dégageai entièrement le corps de Farah et pris une énorme bouffée d'air. Ma tête me fis soudain affreusement souffrir.
Mais je respirai. J'étais vivante. A moitié prise dans la terre, certes mais je sentais l'oxygène, ce bienfaiteur, circuler dans mon sang.
Et puis, nous avons atteint le laboratoire...

Je ne respirais plus presque plus puis lorsque lys me tira. Sous l’impacte violent du plafond mon bras c’était caser sous la pression et une barre de fer avait transperce ma cuise. Je sentais mes poumons me brûler.

Le choc avaitété terrible, nous étions énormément diminuée. Je regardai avec horreur les blessures de Farah. Le bas de mon corps était encore compressé par la masse incroyabe de terre. Dans un effort incroyable, j'arrivai enfin à me libérer entièrement. Je tombai. Mes jambes ne me tenaient plus. J'eus, au bout d'une bonne minute, la force de regarder autour de moi.
Nous étions dans une pièce au tons sombres, tirant sur le bleu nuit. Des appareils en métal étaient exposés au centre de l'immense salle. J'étais en quète de l'armoire à solution. Mais à la place, je trouvais une table de fer. Sur cette table, une femme, défigurée. Je retrouvais peu à peu mes forces. Je me relevais.
Et regardai avec horreur ce visage meutri.

Qui ouvrit subitement les yeux...

Arrivée aux château je sentis l'odeur du sang qui régnait a l'intérieur, l'odeur du mal. Mais je ne pouvait reculer car d'après les information que j'avais pu avoir le chef du démon du ciel saurai passée par la. je décida donc de rentrée arme a la main. Mais arrivée ils semblerai que quelqu'un y soit déjà passer. Des trace de lutte été marquer mais aucune trace de survivant. Je décidais de repartir et quitter ce châteaux lorsque j'entendis un cri.

-"Mais qui es ce?".

Dis-je en pensant peut-être quelqu'un avait besoin de mon aide. Mais peut être que non après tout. Mais je décida voir d'où provenais ce crie. Ce crie me conduisais vers une porte. Je décida donc de l'ouvrir.

Je m'étais évanouie sous le coup de la douleur et de la surprise. Mais c'est quoi cette mascarade. Qui est cette femme? Est ce qu'elle m'a attaquée pendant ma léthargie. Oh mon dieu je n'osais ouvrir les yeux maintenant! Il le fallait pourtant bien.
Rien n'avait bougé, je n'entendais que des respirations difficiles: la mienne, celle de Farah et celle de... Je me levai, mon corps toujours endolori. Bizarrement, je ne me sentais plus oppréssée. Je posai les yeux sur le corps de la femme, qui, derrière ses stigmates, me regardait avec compassion.
"Votre amie semble être...très mal en point. Les remèdes...sont...dans l'armoire..., deuxième étage, la fiole ocre. Appliquez...le liquide sur la plaie et dites lui de serrer....les dents."
L'écouter semblait la meilleure chose à faire. Si je pouvais aider Farah, pourquoi pas... Elle avait avancé en ma direction, peut-être bien pour m'aider. Je souris à cette idée. J'arrachai le bouchon de la fiole avec les dents et attendis l'accord de Farah.
Dans le même temps, je m'addressai à la femme, le dos tourné à elle.
"Qui êtes vous?"
Un petit bruit de porte derrière mon dos...