Cela devenais de plus en plus difficile des les contenire, il était plus féroce, plus violence et l'odeur du sang les attirait comme de betes. Mes bléssures me faisaient un mal de chien. JE sentais mes forces faiblire, ma respiration devenais plus lente, mon souffle plus fort. Le mur de sable que j'avais crée pour les retenir allais bientot céder.
Je posais la main sur mon ventre ou se trouvais l'entaille. Je perdais trot de sang. Le mur explosa je saisie la chaine et commenca a me battre de toute mes force.